Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Brûle ce que tu as adoré. Adore ce que tu as brûlé.

    Brûle ce que tu as adoré. Adore ce que tu as brûlé. A moins que ce ne soit l'inverse ? C'est le commentaire qu'inspirent les dernières déclarations du futur député Bruno Julliard... Le président de l'UNEF vient en effet de se déclarer très satisfait de sa rencontre avec le Ministre de l'Enseignement supérieur. Il estime avoir obtenu "des engagements" contre les volets les plus "néfastes" de la loi sur l'autonomie des universités. Je me réjouis sans doute à l'idée de ce que ces propos vont permettre de participer à la fin des blocages. Pour autant, cet homme est désarçonnant à force de voltes-faces.  On me pardonnera donc le billet qui suit - ma cote sur E Bay va diminuer - , écrit dans un bref moment de lucidité d'énervement .

    Lire la suite

  • Caution avertie ne vaut pas caution informée

    Contrairement à celles dont accouche parfois la jurisprudence, les obligations d’information, multiples mais finalement peu variées, que la loi met à la charge du créancier en matière de cautionnement ne sont guère malléables. Quand l’obligation d’information jurisprudentielle est ainsi sensible à la qualité de la caution, l’obligation légale ne fait guère de sentiment et s’applique froidement. Rendu par la Chambre commerciale de la Cour de cassation le 27 novembre 2007, l’arrêt ci-dessous – bientôt en ligne sur Légisfrance (v. annexe) - en atteste.

    Lire la suite

  • Un soir, j’ai assis la Beauté sur mes genoux. Et je l’ai trouvée amère. Et je l’ai injuriée.

    Le titre de ce billet est volontairement trompeur. Il n’a vocation qu’à recouvrir d’un vernis culturel les lignes honteusement racoleuses qui vont suivre... Les statistiques de fréquentation de ce blog décroissant lamentablement durant cette période festive, me voici contraint de sombrer dans le « People », en tentant une réponse à cette angoissante question : Miss France doit-elle être destituée ?

    Commençons par un bref rappel des faits, tant je suis certain que mes estimables lecteurs préfèrent les programmes d’Arte - lorsqu'ils ont la télévision - aux contenus estampillés Endemol. Dans la nuit froide du 8 décembre 2007, la ravissante Valérie Bègue est élue Miss France, à la suite d’une élégante cérémonie populacière, façon Sissi impératrice à Disneyland... Quelques temps après, le « Canard enchaîné de la télévision », je veux dire le magazine Entrevue, dixit son directeur de publication – ce qui amusera les lecteurs réguliers de l’Entrevue de la politique… - publie des photographies compromettantes de la charmante Miss France. Encore la déception guette-t-elle celui qui n’a pas pu voir encore ces clichés : point de photographies de nue ici, tout juste quelques poses un brin lascives à l’érotisme prépubère d’une campagne publicitaire pour les produits laitiers, et – surtout semble-t-il – une photographie de la future Miss posant crucifiée dans une piscine. Ces clichés étaient – semble-t-il aussi - bien connus des réunionnais, puisqu’ils avaient illustré une campagne publicitaire pour une marque – dont la notoriété est désormais nationale – la marque « Pardon »…

    Lire la suite